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Celle fait quelques temps que je voulais développer la partie “Meilleurs Pratiques/Best practices” de ce blog pour vous aider à utiliser les flux. Et c’est l’initiative de Tom Markiewicz qui m’a inspiré ce premier billet.
Au cours des dernières années, j’ai suivi de près l’évolution des flux RSS. Depuis plus d’un an je blogue sur le RSS. J’en ai même fais le sujet d’un mémoire et en passant j’ai converti quelques entreprises.

Cela m’a permit de voir et de comprendre ce que l’on peut faire avec le RSS et surtout ce qui marche en matière de RSS. Et pour l’instant, il reste du travail sur les normes d’éditions des flux RSS. C’est peut être la rançon d’une certaine jeunesse. Il ya bien le RSS Advisory Board mais pour l’instant il n’y pas de consensus en vue.

Comme je l’ai déjà évoqué, la première des choses à faire lorsque vous créez un flux RSS, c’est de publier/syndiquer vos billets dans leur intégralité (Full RSS).

Publier vos billets en intégralité.

Lorsque que vous publiez un flux vous avez le choix entre publier juste le titre et quelques lignes de description ou publier tout votre billet. Alors choisir l’un plutôt que l’autre.

Le Full RSS, c’est d’abord plus agréable pour vos lecteurs. C’est aussi le respect d’une certaine philosophie du RSS.

Et n’oubliez pas que des lecteurs heureux sont des lecteurs fidèles. Et une audience fidèle a plus de valeur que le nombre de pages vues.

Des lecteurs assidus, ce sont des relais d’opinions/informations qui permettent de mieux faire connaitre votre marque et votre point de vue.

Etes vous un pro du slogan… non alors réfléchissez… Votre contenu est il si original et intéressant que les gens se précipitent tous les jours pour visiter votre site. Et même si il le voulait, les internautes sont déjà noyés par trop d’information.

L’un des avantages des Flux RSS c’est de pouvoir les centralisé en un endroit et de ne pas avoir à visiter chacun de vos sites préférés. Enlevé cet avantage et le RSS perd de son intérêt.

Je regrette déjà l’absence d’un agregateur multiplateformes (audio, video, texte, photos) et qui dispose d’une gestion des flux facile et rapide. Imaginé un podcast ou l’on doit visiter le site pour l’écouter ou le télécharger. Impensable. Alors pourquoi le faire avec le texte.

Ceux qui préconisent de ne diffuser qu’une partie des billets, mettent en avant deux grands arguments:

Ceux qui préconisent de ne diffuser qu’une partie des billets, mettent en avant deux arguments:

• l’importance du nombre de pages vues. C’est un indicateur comme les gens qui ne comprennent pas vraiment les mécanismes des internautes les aiment. Une version internet de l’odv. Mais l’importance du nombre de pages vues n’est pas la même selon que c’est un blog d’entreprise, de l’e-commerce, une newsletter. Cela s’explique lorsque vos revenues viennent des publicités. Mais si telle est le cas passez aux publicités dans les flux RSS (de manière intelligente).
• Les régies publicitaires RSS existent à l’image de Pheedo, FeedBurner ou encore Feedvertising.
• Le vol de contenu ou plutôt de faciliter le copier/coller. Certains sites ne sont constitués que de contenus volés. Bien sûr ces sites utilisent ce contenu pour attirer plus de trafic et être présent dans les moteurs de recherche, et gagner ainsi de l’argent grâce aux publicités. Ce sont les Splog (Contraction de SPAM et de blog). Cela existe et c’est un des problèmes c’est vrai. Pour vérifier si vous n’êtes pas victime d’un splog, le secret l’alerte google, et une recherche régulière en prenant une phrase original de votre blog pour la tester dans les moteurs de recherche.

Biensur ce billet n’est pas le premier chapitre d’une bible. Mon objectif est d’échange sur le RSS, n’hésitez pas. En France et en Europe, il y a encore très peu de données sur les flux RSS. Mais la syndication des articles en entier est un pari gagnant, Essayer pendant 15 jours cela ne coute rien.